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« Je veux que les gens sachent qu’ils ne sont pas impuissants face au trouble bipolaire, souligne Harriet, 53 ans. J’ai un solide réseau de soutien dont fait partie l’Armée du Salut. Mais je n’ai pas toujours été en bonne santé et heureuse. » Il y a seize ans, Harriet s’est rendue au centre de ressources parents-enfants de l’Armée du Salut à Kitchener, en Ontario. « J’étais une mère célibataire qui souffrait de psychose du post‑partum, chez qui un trouble bipolaire a été diagnostiqué et qui n’avait aucune idée du rôle parental, ajoute Harriet. Ma situation n’était pas