Armée du Salut

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Comment un toxicomane a reconstruit sa vie

Comment un toxicomane a reconstruit sa vie

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Cory, âgé de 30 ans, a failli réussir sa tentative de suicide. Après des semaines passées à l’hôpital, il a cherché sur l’Internet des centres de traitement des dépendances. C’est ainsi qu’il a pris connaissance du Centre of Hope de l’Armée du Salut, à Halifax. « Sans l’aide de l’Armée du Salut, je serais interné ou décédé, déclare Cory. Je suis reconnaissant à tous ceux qui me sont venus en aide. » La blessure d’abandon Un jour, en revenant de l’école, Cory a appris que sa mère avait quitté le

Quand les vivres vinrent à manquer

Quand les vivres vinrent à manquer

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Depuis que Samar est arrivée au Canada, sa vie a été ponctuée de hauts et de bas. Pour cette mère, chef d’une famille nombreuse, trouver un logement abordable et faire manger toute sa marmaille représentent un véritable défi. « Je ne dors plus la nuit, dit Samar. Je cherche des solutions pour nourrir mes enfants. Ils me demandent du lait et des céréales, mais je n’ai pas assez d’argent pour en acheter. » Cette Libanaise a immigré au Canada en 1991 pour épouser un homme que sa famille avait choisi. « Mon avenir

L’Armée du Salut souligne le travail d’un intervenant en santé mentale

L’Armée du Salut souligne le travail d’un intervenant en santé mentale

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Mars est le mois national du travail social. L’Armée du Salut profite donc de cette occasion pour souligner le dévouement, l’expertise et le travail assidu de ses nombreux intervenants. Leur exceptionnelle contribution permet à l’organisation de venir en aide à plus de 1,9 million de Canadiens. Sidney Philip travaille comme intervenant en santé mentale pour les services correctionnels du centre Harbour Light de l’Armée du Salut, à Vancouver, depuis 2015. Il a obtenu sa maîtrise en service social en 1996. « Nos clients proviennent du milieu carcéral et un grand nombre d’entre eux

L’Armée du Salut et l’intimidation

L’Armée du Salut et l’intimidation

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Au Canada, la Journée du chandail rose vise à contrer l’intimidation, un problème majeur qui touche un enfant sur cinq. L’Armée du Salut a mis sur pied le programme de gestion de la colère Képi rouge destiné à enseigner aux jeunes, dont plusieurs sont des victimes ou des agresseurs, comment maîtriser leurs émotions dans des situations stressantes. « Dans de nombreux cas, dès que les enfants s’expriment sur les raisons de leur colère, l’intimidation en est souvent la cause », indique Sandra Reid, travailleuse auprès des jeunes de la collectivité de Newmarket,

Nourrir les enfants affamés

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Chaque jour, un enfant canadien sur cinq va à l’école le ventre creux. L’Armée du Salut de St. Albert, en Alberta, a mis sur pied un programme alimentaire pour aider ces jeunes à se concentrer sur leurs études. « Lorsque nous avons appris que des enfants se présentaient en classe l’estomac vide, nous avons décidé de leur offrir des aliments sains pour bien commencer la journée », dit Kellie McTaggart, coordonnatrice des services communautaires de l’Armée du Salut. « Depuis septembre 2016, nous avons distribué des milliers de sacs-repas par l’entremise du programme « Prends soin de

Dépendance et délivrance

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La toxicomanie des parents de Matt est l’une des principales raisons qui expliquent pourquoi ce dernier a décidé de quitter le foyer familial à l’âge de 16 ans. Il est ensuite lui-même entré dans un cycle de dépendance et d’itinérance qui a duré plus d’une décennie. « Notre famille était dysfonctionnelle et elle s’est effondrée, mentionne Matt. Voilà les conséquences de la consommation de drogues et d’alcool. » Matt est parti de la résidence familiale pour fuir le chaos et le désordre qui y régnait. Il a dû apprendre à vivre

Une jeune fille ordinaire accomplit des choses extraordinaires

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À 7 ans, Alyah a donné tout le contenu de son portemonnaie à un itinérant affamé de Toronto. Depuis, elle allège la souffrance des sans-abri et aide les plus démunis. « Nous nous apprêtions à partir lorsque j’ai vu un itinérant qui tenait un petit écriteau sur lequel était écrit : “Donnez-moi un peu d’argent, s’il vous plaît. J’ai faim!”, raconte Alyah, qui est maintenant âgée de 11 ans. J’ai été surprise, car je ne savais pas qu’il y avait des gens qui vivaient dans la rue. » Après avoir fait une découverte aussi surprenante,

L’Armée du Salut fournit des vêtements chauds aux nouveaux arrivants qui vivent leur premier hiver canadien

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L’Armée du Salut au Québec fournit des vêtements aux demandeurs d’asile qui traversent la frontière canadienne afin de les protéger du froid mordant. « Bon nombre d’entre eux viennent d’Afrique et leur adaptation au climat d’ici s’avère difficile, explique Vanessa Pérugien, directrice des services d’urgence et d’aide aux sinistrés de l’Armée du Salut au Québec. La plupart des nouveaux arrivants ne sont pas préparés à affronter nos hivers rigoureux et n’ont pas les moyens d’acheter les vêtements nécessaires à cet égard. » En décembre, le gouvernement du Québec a demandé l’aide

Place aux donateurs

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Pourquoi les gens donnent-ils à l’Armée du Salut? Afin de trouver la réponse, nous avons décidé d’interroger les donateurs et de vous faire connaître les extraordinaires histoires qui se cachent derrière leurs dons. Marie « Il y a quelques années, notre appartement a été détruit par les flammes. Comme nous n’avions nulle part où aller, l’Armée du Salut nous a offert le gîte et le couvert. Je ne l’oublierai jamais, car j’en garde un bon souvenir. Vous étiez là quand nous avons eu besoin d’aide, et nous vous en serons toujours

Dans le tourbillon de la dépendance

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Randi n’avait aucune difficulté à camoufler sa dépendance à la cocaïne et à la méthamphétamine en cristaux. Elle a même réussi à berner ses enfants et sa famille pendant longtemps. Mais, lorsqu’elle a réalisé que sa dépendance la détruisait, elle a demandé de l’aide à l’Armée du Salut. « J’ai refusé d’admettre mon problème pendant une longue période de temps, indique Randi, 28 ans. Puis, lorsqu’on m’a retrouvée errant dans les rues, délirante et incapable de me rappeler qui j’étais, j’ai compris que ma situation était sérieuse et que je devais reprendre