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Les camps de l’Armée du Salut permettent aux enfants d’acquérir de nouvelles connaissances et de s’amuser. Découvrez, grâce à notre galerie de photos, comment un séjour dans l’un de nos camps peut changer une vie.
Les camps de l’Armée du Salut permettent aux enfants d’acquérir de nouvelles connaissances et de s’amuser. Découvrez, grâce à notre galerie de photos, comment un séjour dans l’un de nos camps peut changer une vie.
Un temps d’arrêt, des souvenirs, de nouvelles amitiés, des activités, voilà ce que propose le camp des mamans et des enfants, offert à Jackson’s Point, sur la rive du lac Simcoe, en Ontario. Les mères seules et leurs enfants ont ainsi l’occasion d’échapper aux obligations de la vie quotidienne, de passer de beaux moments ensemble, de se détendre et de se ressourcer dans un décor magnifique. « Ce camp est une escapade fantastique, affirme Tammy, 38 ans. C’est l’occasion rêvée de prendre de courtes vacances sans avoir à se soucier
Selon Banques alimentaires Canada, près d’un million de Canadiens auront recours à une banque alimentaire cet été. La faim touche particulièrement les enfants, qui ne bénéficient pas des programmes de repas à l’école pendant les vacances scolaires. Les familles pauvres doivent choisir entre payer le loyer ou faire l’épicerie. Par conséquent, de nombreux enfants ne mangent pas à leur faim. « Les dons que nous recevons de la collectivité diminuent pendant l’été, explique Kim Duquette, coordonnatrice de la banque alimentaire de l’Armée du Salut à Midland (Ontario). Les gens sont
La chaleur extrême peut être très dangereuse. Lorsque les températures estivales atteignent leur apogée, l’Armée du Salut distribue de l’eau et ouvre des haltes-canicules aux quatre coins du pays. « Notre objectif est d’offrir à tous ceux qui en ont besoin une place au frais où il est possible de s’hydrater loin du soleil et de la chaleur accablante », indique le major Rob Kerr de l’Armée du Salut. Les grandes chaleurs nous incommodent tous, mais les enjeux sont encore plus grands pour les jeunes enfants, les femmes enceintes, les aînés, les
Depuis que l’été est arrivé, Santiago, neuf ans, compte les jours qui le séparent de son séjour dans un camp de vacances. Il y a deux ans, Santiago et sa famille ont quitté la Colombie pour s’installer au Canada. Au cours de leur premier été à Gatineau (Québec), ils ont eu recours aux services d’aide à la famille de l’Armée du Salut. C’est ainsi que la mère de Santiago, Shirley, a entendu parler du camp d’été. Elle était cependant nerveuse à l’idée de se séparer de son fils. « Santiago
Il y a quelques années, Denise Hynes a dû avoir recours à l’aide de l’Armée du Salut de Cornerbrook (Terre-Neuve-et-Labrador). Aujourd’hui, elle est propriétaire d’un commerce florissant et donne en retour à l’organisation qui était venue à son secours quand l’inattendu s’est produit. « Ce jour-là, il faisait extrêmement froid et une conduite d’eau a éclaté dans notre maison, raconte Denise. Le grenier a été inondé et les panneaux de gypse s’effritaient. Il y avait un pied d’eau dans le sous-sol fraîchement rénové. On aurait dit que notre maison avait
Le 21 juin est la Journée nationale des peuples autochtones, durant laquelle on souligne l’héritage unique, la diversité culturelle et les exploits remarquables des peuples autochtones du Canada. À cette occasion, l’Armée du Salut rend hommage à Pamela Spurvey pour avoir changé sa vie et amélioré celle d’autres personnes au centre de services aux toxicomanes et d’hébergement de l’Armée du Salut à Edmonton, en Alberta. Les premières années de la vie de Pamela La mère de Pamela était alcoolique, s’injectait des drogues, fréquentait des gangs, prenait part au commerce du sexe et a
C’est un exploit qui vaut la peine d’être célébré. Cette semaine, Jessica, 19 ans, recevra son diplôme d’études secondaires du Grace Haven de l’Armée du Salut, à Hamilton (Ontario). « Grâce à l’Armée du Salut, j’ai acquis des connaissances parentales et terminé mes études secondaires, explique Jessica. Je suis fière de ce que j’ai accompli. » Lorsqu’elle a découvert qu’elle était enceinte, à l’âge de 18 ans, Jessica n’avait pas terminé ses études secondaires, avait quitté son foyer et dormait chez une amie. « À la maison, il y avait beaucoup
Quand Arlene Wilgosh a donné naissance à sa fille, Lauren, en mai 1986, elle savait que quelque chose n’allait pas. Après une série de tests, on a diagnostiqué chez Lauren une trisomie 13 partielle (une aberration chromosomique à laquelle sont associées une importante déficience intellectuelle et de nombreuses anomalies physiques). « Nous sommes allés voir son pédiatre qui nous a dit que la meilleure chose à faire était de la traiter comme n’importe quel autre enfant. C’est ce que nous avons fait », raconte Arlene. Arlene est finalement retournée au travail et a inscrit